Le palmarès met en avant les communes où “sans totalement l’abandonner, la voiture peut devenir optionnelle grâce à des alternatives, comme les transports en commun, le vélo ou la marche, trop souvent oubliée”, note le journal.
Il fait la part belle aux grandes villes : “les grandes villes, construites il y a longtemps, ont des atouts de taille, comme leur densité de population, avec un secteur tertiaire majoritaire”, analyse l’urbaniste Sylvain Grisot dans les colonnes du quotidien.
Mais quelques villes moyennes se retrouvent toutefois dans ce classement, comme Arras (Nord) et Troyes (Aube) à la dix-huiitème place ex-aequo. Et la banlieue parisienne n’est pas en reste non plus : Nanterre (Hauts-de-Seine) et Créteil (Val-de-Marne) font également partie des 20 meilleurs scores.
10. Strasbourg (Bas-Rhin)
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A Strasbourg, dixième du classement du Parisien, 17% des habitants se rendent au travail à vélo, selon l’INSEE.
9. Tours (Indre-et-Loire)
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La ville de Tours, préfecture de l’Indre-et-Loire, se retrouve à la neuvième place, avec un score de 16,13/20.
8. Nancy (Meurthe-et-Moselle)
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Nancy, la Ville aux Portes d’Or, est huitième de ce palmarès, avec une note de 16,27/20.
7. Rennes (Ille-et-Vilaine)
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La préfecture de l’Ille-et-Vilaine, Rennes, qui a inauguré une nouvelle ligne de métro en septembre, se retrouve à la septième place.
6. Rouen (Seine-Maritime)
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La normande Rouen, préfecture de la Seine-Maritime, se retrouve à la sixième place, avec un score de 16,85/20.
5. Lille (Nord)
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A Lille, cinquième du classement du Parisien, les habitants peuvent profiter de nombreuses infrastructures (transports, vélo, rues piétonnes…) pour laisser leur voiture au garage.
4. Bordeaux (Gironde)
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Dans la ville de Bordeaux, préfecture de la Gironde et quatrième du classement du Parisien, 14% des habitants se rendent au travail à vélo, selon l’INSEE.
3. Paris
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La capitale se retrouve à la troisième place de ce classement, avec un score de 17,25/20.
2. Lyon (Rhône)
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Lyon, où l’on étudie en ce moment un projet de piétonnisation d’une partie du centre-ville, décroche la deuxième place sur le podium.
1. Grenoble (Isère)
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Avec 17,8/20, c’est la ville de Grenoble qui décroche la médaille d’or du classement du Parisien. Le quotidien justifie son choix ainsi :
Une performance obtenue grâce à plusieurs critères : des aménagements cyclables denses (7 km de pistes cyclables par km²), un grand nombre d’espaces dédiés majoritairement aux piétons ou des supermarchés à l’intérieur de la ville. Des points positifs confortés par des usages : une faible motorisation (38 % des ménages ont au moins un véhicule) et une grande part de déplacements domicile-travail à vélo ou en transports en commun.
À Grenoble, plus de 17,4 % de la population se rend ainsi au travail à vélo (et 28,2 % en transports en commun), selon l’Insee.
