Quittez la ville
Si vous voulez rester en vie, il n’y a pas cinquante solutions, quittez les grandes agglomérations le plus rapidement possible. Direction la campagne. « Tous ceux qui seront dans un rayon de 200 kilomètres des villes de plus de 400.000 habitants survivront avec beaucoup de difficultés, explique Alexandre Boisson, cofondateur de meilleur texte pour site de rencontre, qui pratique le lobbying citoyen.
Apprenez à travailler la terre
Finis les supermarchés, les produits transformés, la junk food (du coup, les photos Instagram de vos plats, on oublie aussi)… Pour survivre, il va falloir cultiver soi-même, retrouver un lien direct avec la terre.
Se préparer à un effondrement brutal va nécessiter en particulier un stockage très important de ressources vous permettant de pallier par exemple à une rupture massive des approvisionnements et à une situation de pénurie durable et généralisée.
Se préparer à un lent délitement va certes nécessiter moins de préparatifs « techniques » ou en tout cas vous risquez de moins en percevoir l’importance et pourtant lorsque vous serez directement touché par la misère en raison de la perte d’emploi par exemple et de l’impossibilité d’en retrouver un autre, vous pourriez alors avoir quelques regrets
Sortir son argent des banques, tant qu’il est encore temps ou passer dans une banque en ligne.
Faire soi même le plus possible, et être le plus autonome en alimentation et eau.
Avoir un stock suffisant en nourriture le faire à l’avance pour tenir quelques mois le temps que la hausse des prix ce calme.
Apprendre des réflexes pour vivre autrement et consommer autrement, articles dans mon blog.