Nucléaire
Attaques Nucléaire

Se Protéger Des Radiations Nucléaires

QUE FAIRE EN CAS D’ACCIDENT NUCLÉAIRE ? COMMENT SE PROTÉGER NATURELLEMENT CONTRE LES RADIATIONS ?

Une attaque ou un incident nucléaire peut être dramatique sur les personnes et les biens à cause du souffle de la déflagration, de la chaleur et des radiations.

Pourtant, il faut savoir que les scientifiques assurent qu’il est possible de survivre à une explosion nucléaire à condition de ne pas se trouver dans la zone de déflagration atomique.

De plus, il est essentiel de créer un environnement viable et des conditions de vie pour éviter la radioactivité. À ce titre, cette section de notre article permettra de savoir que faire pendant et après l’attaque nucléaire.

► AU MOMENT DE L’ATTAQUE NUCLÉAIRE

Radiations nucléaires et vision : œil vu de près. L'iris est bleu clair sur les cotés et jaune à l'intérieur.

Si vous êtes près du lieu de l’explosion, les premiers réflexes à adopter consistent à détourner votre regard de l’explosion car les risques de lésions oculaires sont élevés.

Autrement dit, fermez et couvrez vos yeux. En même temps, mettez vous par terre face contre terre et placez vos mains sous votre corps. Restez ainsi jusqu’à ce que deux ondes de choc soient passées [2].

► APRÈS L’ATTAQUE NUCLÉAIRE

Abritez-vous à l’intérieur

Si vous êtes à l’extérieur au moment de l’explosion, le premier réflexe à avoir est de chercher un endroit où vous réfugier : bâtiment, sous-sol. Les endroits construits avec du béton ou de la brique sont les meilleurs. Les meilleurs endroits pour s’abriter en cas d’attaque ou d’incident nucléaire sont les emplacements souterrains ou au milieu des grands immeubles.

Plus vite vous rejoindrez un endroit clos, plus vite vous serez protégé contre les radiations. En effet, il faut savoir que les retombées nucléaires sont plus dangereuses les premières heures après la détonation [6]. L’idéal est de vous abriter le plus vite possible dans un bâtiment en béton.

Une fois à l’intérieur, il est conseillé de retirer vos vêtements et d’essuyer ou mieux, laver les parties de votre corps susceptibles d’être touchées par les retombées nucléaires. Évitez d’utiliser les désinfectants ou les lingettes désinfectantes. Il est aussi conseillé de couvrir vos voies respiratoires à l’aide d’une écharpe ou d’un masque. De même, ne vous touchez pas les yeux, le nez et la bouche.

À l’intérieur, essayez de maintenir une distance de 6 mètres entre vous et les personnes présentes et favorisez le port d’un masque.

💡 Bon à savoir : rester à l’intérieur de votre voiture ne vous protège pas. Rejoindre rapidement un bâtiment le plus proche est la seule solution pour vous protéger.

Restez à l’intérieur

Sauf autres instructions de la part des autorités, restez à l’intérieur pendant au moins 24 heures tout en continuant à pratiquer la distanciation sociale et à porter le masque. Il est conseillé de fermer tout système de ventilation et de sceller les portes et les fenêtres.

Restez à l’écoute de votre radio dans le cas de nouvelles instructions des autorités et pour rester continuellement informés de la situation à l’extérieur. Évitez de consommer des aliments frais ni de boire de l’eau provenant de sources à ciel ouvert.

⚠️ Important : ne cherchez pas vos enfants à l’école. Le personnel de l’école veille à leur sécurité au sein de leur établissement. De même, restez là où vous êtes, même si vous êtes séparé de votre famille.

Préparer un kit d’urgence ou un sac d’évacuation

En plus de se protéger, il est essentiel de rester informé concernant d’éventuelles évacuations recommandées par les autorités locales.

À ce titre, pour éviter toute perte de temps, il est conseillé d’anticiper et de préparer un sac d’évacuation d’urgence dans lequel vous mettrez vos documents, vos médicaments, quelques vêtements, de l’eau, de la nourriture, une radio à pile, des piles et un téléphone dans le cas où le réseau téléphonique n’est pas perturbé.

RÉDUIRE LES RADIATIONS GRÂCE À L’ALIMENTATION

En plus des mesures de confinement et de distanciation, réduire les radiations est possible avec une alimentation bien choisie. En effet, l’alimentation peut protéger contre les radiations à travers différents principes :

L’ABSORPTION SÉLECTIVE

Un Ph légèrement alcalin favorise une meilleure résistance aux radiations en évitant à l’organisme de puiser dans ses réserves de minéraux (calcium, magnésium) qui permettent de maintenir un bon Ph.

Ainsi, il est conseillé d’éviter de manger sucré, de boire de l’alcool et il est recommandé de réduire sa consommation de viande et de laitages. Tous ces aliments favorisent l’acidification de votre corps.

👉 Pour en savoir plus sur ce sujet, n’hésitez pas à lire notre guide sur l’alimentation alcaline.

On estime également que la saturation de l’organisme en minéraux permet de réduire l’absorption d’éléments radioactifs. Il existe certains oligo-éléments et minéraux qui apportent ce type de protection. L’exemple le plus connu est l’iode stable qui remplace l’iode radioactif au niveau de la thyroïde. De même, le calcium, le zinc, le fer, le sélénium et le soufre peuvent permettre une meilleure radioprotection.

Plus précisément, des études ont confirmé les bienfaits suivants :

  • Protection du sélénium contre l’intoxication au cadmium et au tellure [7, 8] ;
  • Protection du zinc contre l’irradiation (30 Gy) [9, 10] ;
  • Protection du calcium contre le strontium 90 [11] ;
  • Protection du potassium contre le césium 137, le césium 134, le potassium 42, le rubidium 86 et le baryum [12-14] ;
  • Protection du fer contre le plutonium-239 et le plutonium-238 [15-17].

L’iode stable pour protéger sa thyroïde

L’un des moyens les plus connus pour réduire les risques de radioactivité est de saturer la thyroïde en iode. Lors d’une explosion nucléaire, l’iode radioactif (iode 131) est libéré dans l’air. Notre organisme ne fait pas la différence entre l’iode stable et l’iode radioactif. Ce dernier une fois inhalé ou ingéré se retrouve dans l’organisme avant d’être stocké dans la glande thyroïde. La présence de l’iode radioactif dans l’organisme peut être à l’origine du développement du cancer de la thyroïde. Dans ce sens, il est possible d’anticiper la fixation de cette substance radioactive et de saturer la thyroïde en iode stable, la protégeant ainsi contre la radioactivité [20, 21].

💊 En cas d’attaque ou d’accident nucléaire, les autorités recommandent ainsi la consommation d’iode sous forme de pastilles d’iodure de potassium. En Europe, les comprimés d’iode en cas d’accident ou d’attaque nucléaire sont dosés à 65 mg et vont jusqu’à 100 mg aux États-Unis [20].

Une étude scientifique a ainsi démontré que l’iodure de potassium administré jusqu’à 48 heures avant l’exposition à l’iode radioactif (131) peut bloquer presque complètement son absorption par la thyroïde et donc réduire considérablement la dose absorbée. Cependant, l’administration d’iodure de potassium 96 heures ou plus avant l’exposition à l’iode radioactif n’a pas d’effet protecteur significatif.

De même, l’administration d’iodure de potassium 16 heures ou plus après l’exposition à l’iode 131 aura peu d’effet sur l’absorption thyroïdienne et donc peu ou pas d’effet protecteur [22].

Cette même étude a également conclu que la dose d’iode radioactif absorbée par la thyroïde est deux fois plus élevée (2 900 cGy/37 MBq) auprès de personnes ayant des niveaux insuffisants d’iode alimentaire, qu’auprès de personnes ayant des niveaux suffisants d’iode alimentaire (1 500 cGy/37 MBq).

Enfin, il est observé que dans tous les cas (avec ou sans les niveaux suffisants d’iode alimentaire), l’administration d’iodure de potassium 2 et 8 heures après l’exposition à l’iode 131 donne des effets protecteurs de 80 et 40 %, respectivement, avec des régimes alimentaires suffisants en iode, et de 65 et 15 % avec des régimes carencés en iode :

Effet protecteur2 heures après exposition8 heures après exposition
Chez les personnes avec assez d’iode alimentaire80 %40 %
Chez les personnes avec une carence en iode alimentaire65 %15 %

💡 Bon à savoir : l’étude conclut qu’indépendamment du niveau d’apport alimentaire d’iode chez les populations exposées, l’iodure de potassium est un moyen efficace de réduire l’irradiation de la thyroïde par l’iode radioactif dispersé dans l’environnement. Il n’est toutefois efficace que lorsqu’il est administré dans les 2 jours avant et jusqu’à environ 8 heures après l’exposition à l’iode radioactif [22].

Nous venons de le voir, consommer suffisamment d’iode au quotidien est ainsi très important pour préparer son corps à un incident nucléaire mais également pour le bon fonctionnement de celui-ci.

LA CHÉLATION

Il s’agit d’une technique qui permet de désintoxiquer l’organisme de substances radioactives. Parmi les aliments chélateurs on peut citer :

L’alginate de sodium

Présent dans les algues comme le kelp et le varech, une étude a montré que l’alginate de sodium permet d’évacuer les molécules radioactives du corps. Chez les enfants, comme chez les adultes, la préparation d’alginate a diminué l’absorption et la rétention du strontium d’environ quatre fois [23].

La pectine (de pommes, d’agrumes ou de graines de tournesol)

La pectine est une substance mucilagineuse présente dans de nombreux végétaux, généralement utilisée lors de la confection de confiture. De nombreux scientifiques ont constaté que cette substance permettrait d’absorber les molécules radioactives et de les évacuer du corps sans qu’elle ne soit assimilée par le corps. Plusieurs études réalisées sur des enfants ukrainiens contaminés suite à l’incident nucléaire de Tchernobyl ont ainsi permis de démontrer une réduction moyenne d’au moins 62,6 % des niveaux de césium 137 chez les enfants recevant de la poudre de pectine orale, comparé à une réduction de 13,9 % avec un placebo [24].

Toutefois, de plus amples études sont nécessaires pour confirmer ces résultats car une étude réalisée pour comparer l’efficacité de la pectine et du pigment “bleu de Prusse” pour décontaminer des rats empoisonnés au césium 137 a montré qu’il n’y avait aucune différence significative entre les rats non traités et les rats traités avec la pectine de pomme [25]. Le pigment, quant à lui, a permis une multiplication par cinq de l’excrétion fécale de césium et a également été associé à une diminution de la rétention des radionucléides dans les principaux organes (sang, foie, reins, rate, squelette).

Les acides aminés soufrés

Les acides aminés contenant du soufre contribuent considérablement au maintien et à l’intégrité des systèmes cellulaires en influençant l’état redox cellulaire et la capacité cellulaire à détoxifier les composés toxiques comme les radicaux libres, les métaux lourds et les espèces réactives de l’oxygène [26].

Des ails blancs et légèrement verts sont entassés dans un panier en osier

On retrouve ces acides aminés dans la viande et les produits laitiers mais ces aliments étant acidifiants, ils ne sont pas recommandés. Il est ainsi préférable de privilégier les choux, l’ail, l’échalote, les feuilles de radis, les asperges et certains oléagineux (noisettes, noix, etc.) qui en contiennent également.

Le miso (soja fermenté)

Le miso (pâte de soja fermentée) est un ingrédient traditionnel de l’alimentation japonaise, fermenté à partir d’un mélange de soja avec du riz, du blé ou de l’avoine. Le miso contient des vitamines, des micro-organismes, des sels, des minéraux, des protéines végétales, des glucides et des graisses qui protègent contre l’absorption d’autres minéraux radioactifs. Le miso non pasteurisé est le seul que l’on doive consommer, car il contient alors beaucoup de bactéries et d’enzymes (probiotiques) qui facilitent la digestion et maintiennent le tube digestif en bonne santé.

Le chlorure de magnésium

Le magnésium s’est avéré être un élément indispensable dans toutes les réponses naturelles d’auto-nettoyage et de détoxification du corps en raison de sa capacité à se chélater avec l’ATP intracellulaire et à se lier de manière compétitive avec le calcium pour les sites de liaison sur les protéines et les membranes cellulaires .

MAINTIEN D’UN BON NIVEAU D’ANTIOXYDANTS

Maintenir un bon statut antioxydant permet de lutter contre les radicaux libres créés lors de l’exposition aux radiations. Voici une liste des aliments les plus riches en antioxydants :

  • Les aliments contenant de la chlorophylle : salade, épinard, asperge, brocolis, algue (Klamath, chlorella) [31] ;
  • Salade de betteraves et d'avocats à la moutarde et à la coriandre.Les fruits rouges, principalement myrtilles et grenades [32] ;
  • Les agrumes : citron, orange, pamplemousse, etc. (pour leur contenu en hespéridine et vitamine C) [19] ;
  • La betterave [33] ;
  • L’oignon [34] ;
  • L’ail [35].

Booster ses taux de glutathion

Par ailleurs, pour permettre au corps de combattre le stress oxydatif, il est important de veiller à avoir de bons niveaux de glutathion. En effet, le glutathion (GSH) est l’antioxydant le plus puissant du corps humain. Il possède une énorme capacité à combattre le stress oxydatif et à neutraliser les radicaux libres nocifs.

Or, les lésions les plus susceptibles de contribuer à la destruction des cellules sont justement les lésions de l’ADN produites par des amas de radicaux. La formation d’amas de radicaux est caractéristique des rayonnements ionisants et explique sa grande efficacité en tant qu’agent cytotoxique. Le mécanisme par lequel ces lésions tuent les cellules est probablement la formation de cassures double brin de l’ADN, aboutissant finalement à des cassures ou des anomalies chromosomiques [36].

À ce titre, des études ont démontré que le glutathion est un protecteur polyvalent contre les radiations. Plusieurs mécanismes expliquent son efficacité. On peut citer notamment le piégeage des radicaux, la restauration des molécules d’ADN endommagées via le don d’hydrogène, la réduction des peroxydes et le maintien des thiols protéiques à l’état réduit [36-38].

LES PLANTES ET MOLÉCULES QUI PRÉSERVENT DES RADIATIONS

D’autre part, il existe certaines plantes utilisées en phytothérapie qui possèdent des propriétés radioprotectrices [19, 40] :

LE GINSENG (PANAX GINSENG)

Trois racines de ginseng sur un plateau en bois.

L’efficacité radioprotectrice du ginseng (Panax ginseng) a été rapportée par plusieurs chercheurs. Dans une étude, le traitement au ginseng a entraîné une récupération du nombre de thrombocytes et d’érythrocytes dans le sang après irradiation (combat l’aplasie) [41].

Les résultats ont aussi montré que l’extrait entier de ginseng offrait une protection contre les dommages radio-induits, notamment en évitant la mort de certaines cellules et enzymes [40].

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Très riche en ginsénosides, le principal principe actif du ginseng. Idéal pour profiter de ses effets sur la santé et notamment sa protection contre la radioactivité.

LE GINKGO BILOBA

L’une des plantes les plus connues pour résister aux radiations nucléaires est sans nul doute le ginkgo biloba, qui fut notamment la seule espèce d’arbres à avoir résister à la bombe atomique d’Hiroshima ou encore à l’incident nucléaire de Tchernobyl.

Ginkgo contre les radiations nucléaires. Deux arbres ginkgo biloba de grande taille. Leurs feuilles sont entièrement jaunes ce qui rend le feuillage doré.

Les recherches scientifiques ont également approuvé ces observations. Ainsi, une étude a permis de démontrer qu’une infusion intraveineuse d’un extrait éthanolique de feuilles de Ginkgo biloba pouvait être efficace chez des patients présentant un œdème vasogénique observé après irradiation du cerveau [42]. Il a également été rapporté que le ginkgo protège contre les ruptures à l’intérieur des molécules d’ADN chez les sujets humains exposés à une irradiation [43].

Enfin, un traitement oral de 40 mg / jour (3 fois par jour pendant 2 mois) de G. biloba s’est avéré efficace auprès des travailleurs de la centrale de Tchernobyl [44].

L’ARGOUSIER

L’administration orale d’un concentré de jus de fruit d’argousier (Hippophae rhamnoides) avant ou après irradiation permettrait de restaurer le taux de certaines hormones corticosurrénales (11-oxycorticostéroïdes) dans le sang, de favoriser le poids des surrénales isolées et de normaliser leur activité [40].

Par ailleurs, l’extrait hydroalcoolique de baies de H. rhamnoides protège contre la mortalité induite par les rayonnements γ, le déclin de l’unité formant colonie endogène (UFC), la formation de micronoyaux et divers autres paramètres hématologiques.

En résumé, l’argousier permettrait d’augmenter la durée de vie après irradiation [40].

LA CENTELLA ASIATICA

Zoom sur des feuilles vertes de centella asiatica (gotu kola)

La centella asiatica est une plante réputée pour la circulation sanguine et la cicatrisation de la peau. De même, elle permet de réduire l’effet indésirable de l’irradiation à faible dose en inhibant la perte de poids corporel induite par les radiations et en réduisant les changements de goût [45].

Par ailleurs, une autre étude a confirmé que la centella permet de limiter la perte de poids induite par les radiations gamma de 8 Gy [45].

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LE BASILIC SACRÉ (TULSI)

Le basilic sacré (Ocimum tenuiflorum L. ou Ocimum sanctum), également appelé tulsi, permettrait de protéger des radiations pour les mêmes raisons que celles citées précédemment : réduction de la mortalité radio-induite, amélioration du nombre d’unités formatrices de colonies spléniques, réduction des aberrations chromosomiques dans les cellules de la moelle osseuse, etc.

En dehors de cela, il a également été rapporté que le tulsi protège contre la peroxydation lipidique induite par les radiations et limite la réduction du glutathion [46, 47].

L’AMLA

Fruits d'amla dans un arbre aux feuilles vertes

L’amla est un arbre indien (et le fruit de cet arbre) utilisé en cuisine, en médecine traditionnelle et dans certains produits cosmétiques.

De même que pour la centella asiatica, il a été rapporté que la pulpe du fruit d’amla (Emblica officinalisaugmenterait la survie et inhiberait la perte de poids induite par les radiations [48].

LA CURCUMINE

La curcumine est le principal polyphénol naturel présent dans le rhizome de Curcuma longa (curcuma). Elle est couramment utilisée dans les médecines traditionnelles indiennes et chinoises. Elle possède des capacités antioxydantes et anti-inflammatoires puissantes ainsi que des vertus antimutagènes, antimicrobiennes et anti cancéreuses [19].

La propriété anti-inflammatoire de la curcumine est responsable de son effet radioprotecteur, tandis que sa capacité anticancéreuse en fait un radiosensibilisateur approprié.

En tant que piégeur de radicaux libres, la curcumine peut protéger contre la peroxydation des lipides et neutralise également les espèces réactives de l’oxygène (ROS) en plus des espèces réactives de l’azote (RNS) [49, 50].

Marion

Fondatrice du blog - Solutions Alternatives

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