Ne Plus Rien Acheter
DIY / Do it yourself

Ne Plus Rien Acheter, Et Tout Faire Soi Même

Pour certains , ce sera impossible pourtant c’est possible réduire ses dépenses un maximum en fabricant ses savons soi même, ses produits d’entretien , tissus lavables, réutilisable, cuisiner pour éviter d’acheter des produits transformés, être autosuffisant sur son potager etc.

Pourquoi Décider De Tout Faire Soi-Même ?

Dans un monde où les besoins des consommateurs sont en constante évolution, les offres tendent à devenir de plus en plus nombreuses. On achète des produits toujours plus performants, et les prestataires n’hésitent pas à innover leurs services pour pousser le consommateur à acheter encore plus.

Si le concept du fait main était très plébiscité dans le temps, il s’est rapidement fait évincer par la praticité des objets tout-prêts. Aujourd’hui, le DIY revient en force, avec de nouveaux principes qui séduisent la société actuelle.

Tourné vers une consommation responsable et écologique, faire tout soi-même devient une évidence. Chez I MAKE, nous revendiquons cette pratique, en vue de contribuer à la création d’un monde meilleur. Bien plus qu’un loisir créatif, le Do It Yourself est une vraie philosophie, qu’il convient de suivre sans modération !

Vous souhaitez vous y mettre ? Nul besoin d’être un artiste pour commencer à tout faire vous-même ! Nos tutoriels faciles à reproduire vous seront d’une grande aide. Encore des doutes ? Voici toutes les bonnes raisons de sauter le pas.

Le « Do It Yourself », un concept très à la mode

Bien plus qu’un simple effet de mode, le DIY est une tendance qui dure dans le temps. La preuve, il est apparu il y a une décennie, et perdure encore à ce jour. Pour comprendre pourquoi ce phénomène est si populaire, focalisons-nous un instant sur ces quelques chiffres.

  • En France, 11 millions de Français sont adeptes du faire soi-même*
  • 1 Français sur 4 reconnait pratiquer régulièrement le Do It Yourself*
  • 88 % de ceux qui pratiquent l’activité affirment que tout faire soi-même améliorerait le moral et l’estime de soi

Au vu de ces quelques statistiques, on peut se rendre compte à quel point cette activité a la côte. Et ce n’est probablement pas prêt de s’arrêter. L’ascension des réseaux sociaux est d’ailleurs un autre facteur favorable à l’expansion de cette communauté.

Ce que l’on aime particulièrement dans cette activité, c’est qu’elle touche à peu près tous les domaines. La modela décorationla cosmétiqueles bijoux… bref, un véritable plaisir pour les petites mains créatives (mais pas que)!

La question que l’on se pose fréquemment sur ce phénomène : est-ce que ça va réellement durer ? Et bien, notre avis est clair sur le sujet : le Do It Yourself n’est pas une simple tendance du moment, c’est un mode de vie amené à durer.

La personnalisation dans tous ses états !

En créant vous-même vos objets, les possibilités de personnalisation sont infinies. Et pour cause, votre imagination reste la seule limite. Une création 100 % unique, sortie tout droit de votre imagination, c’est là le véritable avantage de tout faire soi-même. En choisissant les matières, la couleur, le style, vous serez certain que vous ne retrouverez votre création nulle part ailleurs.

Vous êtes un adepte de la mode ? Porter les mêmes chaussures ou avoir un sac à main identique à celui de votre voisine, il n’y a rien de plus désagréable.

Customisez vos vêtements, accessoires ou bijoux pour vous démarquer des autres. Cela vous permettra d’apporter une petite touche personnelle que vos amies vont vous envier !

Une pratique dans le respect de l’éthique et de la transparence

Lorsque vous réalisez tout vous-même, vous savez pertinemment d’où proviennent les éléments de création. Une chose à laquelle vous accédez rarement (voire pas du tout) lorsque vous achetez en boutique. Vous êtes maître de votre création, et donc vous pouvez par exemple, en connaissance de cause, n’utiliser que des produits bio pour réaliser vos propres cosmétiques.

Pour un fabricant classique, la création n’est pas qu’une question de qualité. Poussé par la multiplicité des demandes de sa clientèle, il est contraint d’effectuer une production de masse. Par ailleurs, les grandes usines peuvent omettre de vérifier certains détails importants, en raison du gros volume d’articles réalisés.

Chez vous ou dans un atelier, vous aurez un œil sur tout, et pourrez contrôler soigneusement la qualité de votre création. Vous recherchez des matières premières de qualité pour réaliser un produit en particulier ? Faites un tour sur notre site, nous proposons diverses fournitures pour vous aider à tout faire vous-même !

Le DIY, c’est écologique… et économique !

Évidemment, il est impossible de parler du fameux concept du « tout faire soi-même » sans évoquer son impact environnemental. Les travaux manuels permettent de contribuer à une consommation responsable et durable. En effet, le « fait main » met en avant le recyclage, ce qui limite la consommation.

Consommer encore et encore, c’est pousser les fabricants à produire de plus en plus, ce qui n’est pas favorables à notre planète. Les usines, les déperditions inutiles, l’épuisement des ressources… Tout ça nuit à l’environnement, et peut être évité en faisant tout soi-même.

Le concept du Do It Yourself implique que vous utilisiez ce que vous aviez déjà sous la main, ou le fait de rénover certains objets. Au pire, vous limitez l’épuisement des matières premières, dans la mesure où vous utiliserez des éléments en petite quantité.

Qui dit moins consommer, dit forcément plus d’économies. En créant vos objets, vous limitez déjà le coût de vos dépenses en main d’œuvre, ce qui peut constituer une belle somme. Si les articles que vous achetez sont assez chers, c’est parce qu’ils sont accompagnés de frais diverses, généralement liés aux charges incombées au vendeur. Cela inclut notamment le prix des locaux, du personnel, des garanties, des services, et bien souvent de la marque. En usant de votre créativité, vous pouvez tout à fait vous défaire de tous ces frais, et ainsi moins vous ruiner.

Un loisir créatif qui vous fait du bien

Il n’y a rien de plus jouissif que la fierté d’avoir accompli un projet soi-même. C’est d’ailleurs l’une des valeurs sûres des objets fait main. Ce n’est pas uniquement un loisir qui vous permettra de passer le temps durant vos heures perdues. C’est surtout une activité stimulante, mais aussi gratifiante.

Réussir quelque chose, ça fait toujours du bien, et c’est le meilleur moyen de renforcer son estime de soi et d’exprimer toute votre imagination. Si vous êtes de nature stressée, les travaux manuels vous permettront de lâcher prise, et retrouver une « zen attitude » ainsi que la joie de vivre.

De plus, c’est une activité où vous apprendrez continuellement. Perfectionnez-vous encore et encore, jusqu’à l’infini, il n’y a pas de limites. Au fur et à mesure de la pratique, découvrez de nouvelles tendances et techniques pour parfaire vos connaissances. Lancez-vous des défis !

Enfin, une activité manuelle permet de retrouver son âme d’enfant. Dites adieu aux problèmes, au rythme effréné de la vie quotidienne, et prenez le temps de vous relaxer pleinement dans la création de votre ouvrage. Avec le Do It Yourself, impossible de s’ennuyer, car vous ne verrez même pas le temps passer.

Voilà, vous savez tout sur ce concept si populaire et les avantages de tout faire soi-même. I MAKE propose de vous accompagner pour réaliser des œuvres uniques et qui vous ressemblent !

“J’y trouve même du plaisir !” Ils se sont mis au défi de ne rien acheter de neuf pendant un an

"J’y trouve même du plaisir !" Ils se sont mis au défi de ne rien acheter de neuf pendant un an
Sibylle LAURENT/LCI

RIEN DE NEUF – En début d’année, l’association Zero Waste France a lancé le Défi Rien de Neuf : essayer, autant que possible, de ne rien acheter de neuf, pendant un an – sauf pour l’hygiène et l’alimentaire. L’idée : mieux lutter contre le gaspillage. Plus de 10.000 personnes y participent. Elles nous racontent.

Sibylle LAURENT – Publié le 6 mars 2018 à 7h00, mis à jour le 6 mars 2018 à 14h39

Elle était camée aux achats. Accros aux fringues. Addict à la consommation. Elle achetait, achetait, achetait. Jusqu’à l’overdose ? Il y a eu, en tout cas, un déclic, une prise de conscience. Marie a décidé  de se sevrer.

D’essayer de faire attention à ce qu’elle achetait.  “Je consommais assez frénétiquement”, reconnait la jeune retraitée. “Au début, je mettais ça sur le fait que j’habitais en région parisienne, que j’étais tout le temps très apprêtée. Alors, quand je suis venue m’installer dans les Landes, je pensais que je n’aurais plus les mêmes besoins. Et pourtant, j’ai continué à acheter.” Des pulls, des jeans, des chemisiers…

Et un jour, à ça a été la saturation. “J’avais une impression de trop plein, dans les placards, dans mon dressing.” Marie a cheminé. “J’avais beaucoup entendu parler du minimalisme, du zéro déchet, de réduire la présence des objets”, raconte-t-elle. Alors en janvier, quand elle est tombée sur ce Défi Rien de neuf, qui implique de ne rien acheter pendant un an, elle s’est lancée. 

Comme Marie, ils sont plus de 10.000 à se retrouver sur le groupe Facebook Le Défi Rien de Neuf. Sont-ils fous ? Dangereusement utopistes ? Joliment rêveurs ? En tout cas, ils essaient, depuis janvier, de ne rien acheter de neuf pendant un an. “Pour tout ce qui n’est pas consommable, livres, meubles, déco, multimédia, ordi, téléphone, transport, vélo”, précise Marine Foulon, de l’association Zero Waste France, qui a lancé le défi. “L’idée est de se poser la question de la nécessité de l’achat neuf, d’essayer d’acquérir de nouveaux réflexes.

C’est un moyen de sensibiliser les gens à mieux consommer, à lutter contre le gaspillage, économiser les ressources de la planète.” Un an, le défi est ambitieux. “Cela peut paraître difficile, voire impossible”, reconnait Marine Foulon. “Mais nous proposons un accompagnement, avec des échanges, une newsletter, des initiatives concrètes.” Une sorte de groupe de soutien, pour toutes ces personnes qui essaient de consommer autrement. Exactement ce que cherche Marie, qui analyse : “En fait, quand j’habitais à Paris, j’achetais de manière compensatoire, je pense que j’étais stressée, j’en avais marre de vivre à Paris, entourée de monde, très speed. Arrivée ici, j’avais pris des habitudes de consommation, il fallait s’en défaire.”

Echange de solutions et astuces

Sur ce groupe donc, s’échangent témoignages, conseils, soutien, bonnes adresses pour ne pas craquer…

La base, d’abord : les adresses de bourse aux vêtements, aux meubles, aux graines, des trocs, de Repairs café, des réseaux de voisinages, mais aussi d’autres pages d’échanges, par région, ou produit, des tutos sur Youtube. Les adresses de sites de revente en ligne se refilent sous le manteau :  VintedPrice minister, Eco Tech pour le high tech, et bien sûr, Le Bon Coin,  ou encore diverses adresses de magasins d’occasion, ou d’insertion. L’occasion de redécouvrir que l’occasion, peut être aussi bien que du neuf. Mathilde se félicite ainsi d’avoir trouvé le “lit mezzanine bureau de mon fils sur Le Bon coin, dans le village d’à côté. Et surtout : j’étais super réticente à l’idée d’acheter un matelas d’occasion… je craignais de ne trouver que des vieux machins tous défoncés… hé bien j’ai trouvé un quasi neuf !” 

S’échangent aussi des appels au secours, des astuces, pour répondre à des questions qu’on ne s’étaient jamais posées avant : comment fabriquer des produits d’entretien maison ?

Ou des cosmétiques, pour les plus aventureuses ? Comment garder ses collants plus longtemps en le mettant au congélateur, pourquoi utiliser du savon noir ? Des problèmes existentiels aussi : comment se passer du rasoir jetable ? Avez-vous des recettes pour fabriquer votre propre cire ? Est-ce qu’aller au cinéma va à l’encontre de cet engagement ? Des solutions se partagent : comment repriser ses chaussettes au lieu de les jeter, comment fabriquer des éponges avec un vieux tee-shirt, ou un panier à linge avec une grosse corde.

Noémie a ainsi donné une seconde vie à ses vieux jeans aux coupes démodées : “Au lieu d’en racheter un, même d’occasion, je viens de trouver un tutoriel pour transformer sa coupe et donc qu’il soit facilement utilisable avec les bottes d’hiver.” Oui, mieux vaut être débrouillard pour survivre.

Quelque fois, il y a “craquage”. Achat de neuf. Cela aussi, est partagé, confessé, en toute simplicité. Comme Marie-Claude. “J’ai craqué. Je me suis acheté neuves des bottines fourrées 50 euros au lieu de 160”, écrit-elle. “Tant pis j’ai les pieds en éventail dans mes petites bottines. Elles sont super jolies et je n’ai même pas honte car c’est un achat qui va me servir.” D’autres fois, il a été difficile de faire autrement.

Comme Eve, qui avait besoin de teinture bleu pour cheveu. Comme Amélie, qui se retrouve en rade de cartouche d’imprimante ou de tapis de baignoire ; comme Laurane, qui doit trouver un cadeau d’anniversaire de dernière minute. Ou ce sont encore des pannes difficiles à anticiper : la courroie de transmission qui pète, les lunettes de vue qui se cassent, le four à micro-ondes  ou le lave-vaisselle qui tombe en panne, le lave-linge qui lâche quand le troisième bébé vient d’arriver et qu’on est passé aux couches lavables. Bénédicte a vaiment tout tenté.

“Mes plaques de cuisson en vitrocéramiques ne marchaient plus. J’ai contacté au moins 12 personnes sur Le Bon Coin, entre eux qui ne répondaient pas, ceux qui décidaient finalement de ne plus vendre… J’ai fini par en acheter des neuves.

Mais je me dis que c’est un geste que je fais, qui servira aussi au locataire d’après !”

Car l’achat de neuf, quand il n’y a pas le choix, est pris comme un investissement. L’idée est alors de privilégier l’achat français ou local, bio, de qualité. Comme Claire, qui partage son achat de 11 pelotes de laine “made in Nord” pour se tricoter un pull. “Un bon investissement car il rémunère des artisans français et le pull tricoté durera de très nombreuses années !” La faute est en effet pardonnée, car, comme dit Béa, “y a  pas de mal à se faire du bien”, et “mieux vaut un bon achat neuf qui dure plutôt que des trucs achetés sur certains sites, soit défraîchis, soit trop petits ou trop grands”. En fait, la seule règle derrière tout ça est surtout d’éviter les achats compulsifs, inutiles. Essayer de distinguer envie et besoin, se défaire de son addiction à l’immédiat et à la pulsion d’achat, qui mènent à cette surconsommation. “Au final”, constate Bénédicte, “on réalise qu’il y a peu de choses dont on a un besoin urgent.

On s’en rend compte avec l’occasion, où il faut prendre le temps de chercher, contacter les gens, aller chercher le produit. Et on arrive très bien à s’en sortir sans !”J’essaie de sortir de cette spirale de consommation dans laquelle on nous entraîne– Marie

Pour l’instant, pour Marie, la Landaise, le sevrage semble se faire plutôt bien. “Ce n’est pas difficile du tout !”, dit-elle. Des nouvelles habitudes s’installent. “Quand j’ai besoin de quelque chose, par réflexe je vais d’abord regarder dans les brocantes, sur Le bon coin. J’y vends aussi des choses dont je ne me sers plus.” Comme cette machine à thé, achetée sur une impulsion, et dont elle ne s’est jamais servie. Car Marie s’est mise à trier, ranger, jeter, donner, dans tout ce qu’elle a entassé. “Il y a encore des choses dont je n’arrive pas à me débarrasser !”

Elle a mis au point des petites techniques : “J’ai pas mal de choses sur cintres. Quand je mets les vêtements, je retourne le cintre. Au bout d’un moment, ceux qui ne sont pas retournés, je me dis que je ne les mettrais jamais.” 

Pour les livres, elle fait du troc avec les amis, va à la médiathèque. Et côté électroménager, elle croise les doigts, elle n’a pas encore eu de panne.  “J’ai eu un seul ‘bug’, c’est l’achat de chaussures de randonnée”, confesse-t-elle. “J’ai aussi du mal au niveau des sous-vêtements et des chaussures. C’est très personnel…” Et essaie d’avoir, en toute chose, le réflexe “BISOU” (Besoin, Immédiat, Semblable, Origine, Utile) : “C’est une technique pour se demander, avant un achat, si on en a besoin, si c’est utile, si on ne l’a pas déjà…

Si on prend déjà le temps de se poser la question, c’est souvent qu’on n’en a pas besoin.”

Mais n’est-elle pas épuisante, frustrante cette vie de moine, d’ascète ?

A se compliquer la vie alors qu’il est si facile de sortir sa carte bleue ? “Au contraire !”, assure Marie. “Je me retrouve avec un bilan plus que positif, et j’y trouve même du plaisir !” Car pour elle, comme pour la plupart des participants au Défi, c’est toute une démarche qui s’est enclenchée. “J’essaie de revoir toute ma façon de vivre.

De sortir de cette spirale de consommation dans laquelle on nous entraîne, et qui ne nous épanouit pas. J’avais l’impression d’être devenue dépendante de ça : au moment des soldes, je recevais 10 fois par jours des SMS, des cartes de fidélité. On ne peut pas fonctionner comme ça ! On ne peut plus !”

Le plus dur, c’est de commencer

L’initiative ferait-elle boule de neige ? En tout cas, des dizaines de groupes parallèles se lancent sur les réseaux sociaux, ou existaient déjà comme Gestion budgétaire, entraide et minimalisme ; d’autres défis se lancent, comme celui de ne pas aller au supermarché pendant tout un mois…

“Les gens arrivent par plusieurs portes”, reconnait Marine Foulon, de Zero Waste France. “Raisons écologiques, idée de faire des économies, de relocaliser ses achats et créer de l’emploi local. Il y a aussi un questionnement assez global sur la surconsommation, qu’on a vu par exemple autour des soldes. On a vu une certaine saturation générale sur les réseaux sociaux, par exemple via des campagnes anti black Friday. De plus en plus de gens affichent leur ras le bol, ils ont envie d’autre chose. Et une aventure collective, c’est stimulant”. 

“Ca redonne de la valeur aux choses, ça nous ramène à nos priorités”, abonde Marie. “Est-ce qu’on a besoin d’avoir toutes ces choses, d’accumuler ? C’est lourd à porter, d’ailleurs, ce système de surconsommation : il faut toujours avoir le dernier téléphone, être en quête de la dernière sortie…

Mon essentiel n’est pas d’avoir une accumulation de choses autour de moi, au contraire, ça m’encombre quand je fais le ménage !” Elle a, dit-elle, appris à cultiver “l’art de l’essentiel” : “Le plus dur est de mettre le pied à l’étrier. Une fois qu’on l’a, on y trouve du plaisir !”

Vidéo Démonstrative

Marion

Fondatrice du blog - Solutions Alternatives

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