1/ On devient une pro du budget
Se fixer un objectif de dépenses mensuelles : la base pour arrêter d’acheter too much !
L’exercice devient tout de suite plus funky en téléchargeant Budgea, relié à notre compte. Chaque fois qu’on tire sur notre carte, l’appli calcule automatiquement le solde restant à la fin du mois. Fini les mauvaises surprises, en un clic sur son portable, on voit en graphiques ce qui nous reste en temps réel et on s’adapte !
2/ On apprend à kiffer ce qu’on a
Florence Servan-Schreiber* insiste : pour être heureuse, on privilégie les expériences, ce qui laisse de bons souvenirs, plutôt que les possessions matérielles au plaisir limité.
Une étude sur le bonheur** a d’ailleurs montré que plus on a de bons amis, plus on est heureux. Et sinon, LE livre intemporel pour apprendre à aimer notre vie comme elle est Pensées pour moi-même, du philosophe stoïcien Marc Aurèle (un bijou de table de chevet !).
3/ On adopte le zen
Car, en épurant nos armoires, notre salle de bains, etc. bref, en optant pour le minimalisme, on vit dans plus de clarté. « Cinq minutes suffisent à un Japonais pour se préparer pour un long voyage », admire Dominique Loreau dans son best-seller pratique L’Art de la simplicité* (un must-have). Autre coach utile, le carnet J’arrête le superflu**, ou comment s’alléger intelligemment de tout en 3 semaines chrono !
4/ On découvre la frugalité
Trop manger alourdit le corps et l’esprit. Mémo : la taille naturelle d’un estomac, c’est celle d’un pamplemousse, que les « bonnes platrées » finissent par distendre. Résultat, on mange plus que de besoin… Les habitants d’Okinawa, l’île aux centenaires, posent leurs couverts à la seconde où ils sont rassasiés, voire un peu avant. Pour apprendre à rééquilibrer (physiquement ET économiquement) notre rapport à la nourriture, on lit L’Art de la frugalité et de la volupté de Dominique Loreau (Éd. Robert Laffont). Motivant !
5/ On se convertit à une « religion » de substitution
Le 1er commandement ? Commander, justement, ses fruits et légumes à un petit producteur via une Amap (Association pour le maintien d’une agriculture paysanne) : 1/ on prend soin de soi avec des produits sains ; 2/ on prend soin de l’environnement ; 3/ on favorise le travail d’une famille d’agriculteurs versus l’agroindustrie de masse. Et pour acheter local quand on habite en ville, on rejoint La Ruche qui dit oui.
Pour la mode, on mate Sweatshop (en anglais), et on découvre en même temps que des bloggeurs comment est fabriquée la fast fashion… Ça fait passer l’envie de porter la misère du monde sur ses épaules, et ça nous incite à acheter moins, stylé ET éthique (comme les marques Ekyog, Veja…).