Vivre Avec Peu, Mais Mieux
Consommer moins et vivre autrement

Comment Vivre De Peu, Mais Mieux

Le minimalisme, c’est quoi ?

Vivre de peu mais mieux

En fait, pour ne pas confondre avec d’autres définitions de ce mot, on devrait plutôt parler de simplicité volontaire. On peut résumer le concept en quelques mots : vivre de peu mais vivre mieux.

Le minimalisme consiste donc à réduire sa consommation et ses possessions, et aussi parfois ses relations et ses activités, dans l’objectif de mener une vie plus simple, centrée sur l’essentiel.

Mais il ne s’agit pas ici de faire ça sous la contrainte, suite à une perte de revenus ou un découvert à la banque par exemple. Non, c’est bien un choix de vie qui est fait volontairement, avec envie, pour une ou plusieurs raisons que je te présenterai quelques lignes plus bas.

Mais avant ça, je te propose une petite parenthèse culturelle…

Quelques références historiques et culturelles du minimalisme

Contrairement au cliché, le minimalisme ne se réduit pas à un phénomène de mode adopté par des bobos. Dans l’Histoire, on peut trouver des précurseurs célèbres tels que Saint-François d’Assise ou, beaucoup plus récemment, Gandhi.

Dans la littératureWalden ou la Vie dans les bois est une référence, publiée en 1854 et inspirée par l’expérience originale menée par l’auteur, Henry David Thoreau. Témoin d’un 19ème siècle marqué par l’industrialisation, il avait décidé de se mettre un peu à l’écart de sa ville, Concord, dans le Massachussets, et de vivre pendant plus de 2 ans dans une cabane au contact de la nature.

Aux Etats-Unis encore, dans les années 1960, l’art contemporain a donné naissance à un nouveau courant, l’art minimal, notamment dans la peinture et la sculpture. Et au Japon, le minimalisme est un art de vivre qui s’inspire de la culture zen et du taoïsme chinois.

Plus près de nous géographiquement et temporellement, Pierre Rabhi évoque très souvent cette philosophie dans ses conférences et ses essais, par exemple dans son livre de 2010, Vers la sobriété heureuse. La France est loin d’être une pionnière du minimalisme, mais la tendance se développe, boostée notamment par les préoccupations écologiques.

Alors justement, quelles sont les raisons pour lesquelles on devient minimaliste ?

Pourquoi devenir minimaliste ?

Les motivations qui peuvent conduire au minimalisme sont variées. Certaines sont liées à l’argent bien sûr (ben oui, c’est bien pour ça que j’en parle sur ABC Argent !) Mais il y a aussi beaucoup d’autres raisons, tu vas voir !

Consommer moins, économiser plus

Une des principales dimensions de la simplicité volontaire, c’est la consommation. A l’opposé de la surconsommation, le minimalisme consiste à acheter moins, à n’acheter que ce dont tu as réellement besoin. Automatiquement, tu vas donc dépenser moins.

Ainsi, à revenus constants, tu vas économiser de l’argent. Alors, tu pourras placer cet argent et augmenter ton épargne. Ou tu pourras utiliser ces économies pour voyager, pour apprendre, ou pour tout autre type d’expériences enrichissantes que tu ne peux pas t’offrir si tu dépenses tout dans des objets inutiles.

Aussi, en réduisant tes possessions matérielles, tu pourras peut-être rembourser tes emprunts, ou arrêter de louer ce garage ou ce garde-meubles.

Gagner du temps et gagner de la place

Vivre avec moins de choses, ça te permettra de libérer de la place chez toi. Tu te sentiras mieux. Toi et ta famille, vous pourrez plus confortablement travailler, cuisiner, jouer, etc. sans être encombrés. Tu pourras peut-être même dédier un espace à une activité artistique ou autre que tu avais délaissée faute de place.

Tu vas aussi pouvoir libérer du temps et ainsi le consacrer à ce que tu aimes, à ce qui compte le plus pour toi. En effet, moins consommer, c’est perdre moins de temps dans les magasins. Posséder moins, c’est moins de temps passé à nettoyer, entretenir, chercher, ranger, tous ces objets superflus. Et puis si tu dépenses moins, tu pourras peut-être te permettre de travailler moins, de passer à temps partiel ou de prendre quelques congés sans solde.

Faire sa part pour préserver la planète

La crise climatique et la prise de conscience écologique en général expliquent une grande partie de l’intérêt croissant pour le minimalisme. En effet, réduire sa consommation de biens matériels implique que les industries produiront moins. Par conséquent, il y aura moins de prélèvements des ressources naturelles, moins d’énergie utilisée, moins d’emballages, moins de transports… En bref, le minimalisme est un acte éco-citoyen.

Par exemple, certaines personnes font le choix de ne pas posséder de voiture. Certes, c’est plus facile en milieu urbain qu’à la campagne, mais beaucoup y trouvent leur compte. Les économies induites, directes et indirectes (pas de frais d’assurance, d’entretien, de parking, etc.), peuvent permettre d’acheter un vélo, d’utiliser les transports en commun et même de louer une voiture quand c’est nécessaire.

Ainsi, sans effort financier, ces personnes réduisent leur empreinte carbone, et plus généralement leur impact écologique. Et elles s’en sentent probablement un peu soulagées.

Choisir le minimalisme pour des raisons philosophiques

Il y a aussi des motivations plus spirituelles qui peuvent t’inciter à faire le choix du minimalisme. Concrètement, ça veut dire adopter un style de vie centré sur l’essentiel, sur de vraies valeurs éthiques plutôt que sur des richesses matérielles, dans le but de maximiser ton bonheur. Il peut s’agir par exemple de privilégier ta famille ou une certaine forme de vie sociale ou engagée, ou encore de miser sur ton épanouissement personnel, culturel, artistique. Ça peut aussi se manifester par un retour à la nature.

Les bénéfices attendus consistent tout simplement à donner un nouveau sens à ta vie, à te sentir plus heureux, plus libre, plus serein, apaisé. C’est comme si, en relâchant tes liens avec les objets superflus, tu devenais plus léger. Tu te libères de la charge mentale liée à toutes ces possessions inutiles, du stress lié au simple fait de devoir les conserver, les entretenir, etc.minimalisme vivre de peu mais mieux

Le minimalisme n’empêche pas le confort. Fais-toi plaisir !

Comment devenir minimaliste ? Un processus en 4 étapes

Alors, j’ai attisé ta curiosité ? Tu te rends compte que tu pourrais bien avoir une ou plusieurs bonnes raisons de t’engager dans le minimalisme ? Tu voudrais savoir comment faire pour vivre de peu mais mieux ?

Comme tu t’en doutes, c’est pas un changement qu’on décide un soir et qu’on réalise le lendemain ! D’ailleurs, ça ne serait probablement pas un essai concluant. C’est donc pas aussi simple que ça. Et surtout, c’est un processus qui prend un peu de temps. Mais heureusement, la suite de cet article va t’aider, en t’invitant à suivre différentes étapes.

Etape 1 : état des lieux et prise de conscience

Je te propose donc de commencer par jeter un regard objectif sur ta vie actuelle et sur tous tes biens matériels. Fais un tour de ta maison ou de ton appartement, sans oublier éventuellement le garage, la cave, le garde-meubles ou tous ces objets que tu conserves peut-être encore stockés chez tes parents.

Qu’est-ce que cet encombrement et cette accumulation de choses t’inspirent ? Combien te sont vraiment utiles ? Est-ce que ça te rend heureux d’avoir tout ça ?

Certains objets ont peut-être pour toi une valeur sentimentale. Si tu crains de t’en séparer pour cette raison, demande-toi si tu as vraiment besoin de les conserver. Est-ce que tu ne crois pas que les souvenirs associés à ces choses resteraient de toute façon bien présents en toi ?

Interroge-toi aussi sur tes habitudes de consommation. Quand tu achètes quelque chose, est-ce toujours parce que tu en as besoin ? Ou est-ce que c’est parfois irréfléchi, voire addictif, poussé par la culture de la consommation héritée du 20ème siècle ? Et le plaisir que t’apporte cet achat, dure-t-il vraiment, au-delà d’une courte période de découverte ?

Enfin, poursuis ce travail d’introspection et demande-toi si tu n’as pas aussi l’esprit trop encombré. Ce sont peut-être d’ailleurs tes possessions qui en sont la cause. A moins que l’origine de ce stress ne se trouve dans ton quotidien, ton style de vie, tes occupations et préoccupations trop nombreuses ?

Bon, d’accord, ça fait beaucoup de questions. Mais, après les raisons générales de devenir minimaliste, et maintenant ces questions plus personnelles, je suis à peu près sûr que tu commences à voir ce que le minimalisme pourrait changer concrètement pour toi. J’ai raison ? Alors, passons à l’étape suivante.

Etape 2 : inventaire

Maintenant que tu t’es fait une idée grossière de toutes ces choses qui encombrent ta maison et qui te pèsent sur le ciboulot, il est temps de faire quelque chose. Je te préviens, cette étape n’est pas la plus motivante.

Elle est même assez fastidieuse. Mais c’est une étape clé pour que bientôt tu puisses vivre avec moins de possessions et de tracas.

Il s’agit donc de faire un inventaire détaillé, une liste que tu peux faire sur un cahier, ton ordinateur ou ta tablette par exemple. Tu vas passer en revue tout ton logement, pièce par pièce, sans oublier le garage, la cave et tous tes autres espaces de stockage. Et tu vas prendre le temps d’inventorier tout ce qui s’y trouve, contenants et contenus.

Pour que ça aille un peu plus vite, tu peux effectuer des regroupements. Voilà par exemple ce que ça pourrait donner pour ta chambre : 1 grand lit, 1 couette, 3 sets complets de draps, 2 tables de nuit, 1 cadre photo, 3 montres, 2 livres de poche, 1 armoire, 14 chemises, 6 paires de pantalons, 3 ceintures, 32 paires de chaussettes, etc.

Avant même d’avoir fini, tu vas sans doute te dire que tu ne pensais pas avoir tant de choses que ça, et qu’il y en a beaucoup dont tu ne te sers pas ou très peu. Et tu prendras probablement conscience d’un certain désordre caché. Tu y retrouveras peut-être même des objets que tu avais cherchés il y a bien longtemps et que tu avais fini par oublier…

Alors, cette étape ne va pas seulement t’être utile dans la pratique, notamment pour le désencombrement, à la fin du processus. Cet inventaire va aussi encore accroître ta prise de conscience, et donc te motiver encore plus pour te libérer de cet excès de possessions et de ce désordre.minimalisme tri

Bon courage pour l’inventaire !

Etape 3 : liste des besoins

Tu as aimé faire cette liste ? Pas trop, hein ? Ne la jette surtout pas mais je te propose maintenant d’en faire une autre ! Bon, rassure-toi, celle-ci sera moins fastidieuse et plus agréable à établir. Tu vas lister les choses dont tu as réellement besoin.

Finie l’observation, tu vas maintenant réfléchir un peu. Tu peux faire ça à partir de la liste précédente, pièce par pièce, en te demandant de quels articles tu as vraiment besoin et en quelle quantité. Par exemple, en partant de l’inventaire effectué dans la chambre, tu peux te demander : est-ce que 2 sets de draps ne seraient pas suffisants ? et une seule montre peut-être ? combien de chemises et de pantalons ? Et cette armoire, tu te souviens l’avoir achetée parce que tes affaires ne tenaient plus dans les placards. Alors, peut-être qu’elle ne te sera bientôt plus utile… Tu me suis ? 

Tu peux aussi procéder par activité. Par exemple, de quels ustensiles as-tu réellement besoin pour cuisiner ? Combien de poêles et de casseroles ? 3 planches à découper, vraiment ?!

Etape 4 : bon débarras !

Ça va ? Tu as fait le plus dur ! Maintenant, tu vas pouvoir te défouler et passer à l’action, la vraie, celle que tu attends depuis un petit moment. Bon, vas-y mollo quand même ! Tu réaliseras d’ailleurs par toi-même que c’est pas toujours facile, malgré cette folle envie de te débarrasser de tout pour te sentir enfin « libéré(e) délivré(e) ». 

Heureusement, les 2 étapes précédentes vont t’aider à faire le tri nécessaire sans pour autant tomber dans l’excès de te débarrasser d’objets qui te sont utiles. En résumé, le moment est venu, parmi toutes ces possessions que tu as inventoriées, de ne garder que ce qui est sur ta deuxième liste.

Un processus itératif

Bon, ne sois quand même pas trop dur avec toi-même. Parfois, tu vas vouloir garder certains objets qui ne sont pas sur cette liste, parce que tu y es sentimentalement attaché, parce que c’est un cadeau qu’on t’a fait et tu te sentirais coupable de t’en séparer, ou encore parce que même si tu n’en as pas besoin actuellement, toi ou tes enfants pourriez en avoir besoin dans 2 ou 3 ans…

Ne sois donc pas trop strict, mais n’oublie quand même pas l’objectif : vivre avec moins pour vivre mieux. Tu verras, il y a plein de choses dont il sera facile de te débarrasser. Et puis rien ne t’empêche de refaire une deuxième passe, puis une troisième, à quelques semaines d’intervalle. Je parie même que tu en auras envie, quand tu commenceras à constater réellement les bénéfices de la première itération.

Tu verras notamment que tu retrouveras plus facilement tes affaires, que c’est plus facile de les garder en bon ordre, bien organisées… Et tu te demanderas : « pourquoi ne pas aller encore un peu plus loin dans le processus ? », « pourquoi ne pas me rapprocher encore plus de cette fameuse liste des choses nécessaires et suffisantes ? », « pourquoi j’ai gardé ça ? »…

Vendre, donner, recycler, jeter

Bon, c’est bien beau tout ça ! Tu es train de faire le vide chez toi. Mais concrètement que vas-tu faire de ce tas de choses que tu abandonnes ? Eh bien justement, je te propose d’en faire au moins 3 ou 4 tas. Je sais bien que tu as une certaine conscience économique et écologique. Et le minimalisme va souvent avec une démarche anti-gaspillage.

Alors, ton premier réflexe, s’il s’agit d’un objet qui peut servir à quelqu’un en l’état, ça devrait être de le vendre. Tu peux essayer sur eBay, Le Bon Coin ou encore lors d’un événement vide-grenier.

Tu ne feras pas fortune, mais si tu es un fidèle lecteur de mon blog, tu es sans doute intéressé par tous les moyens de gagner un peu d’argent extra. Je me trompe ?

Si tu ne veux pas t’embêter avec ça (« ça vaut pas la peine ») ou si tu essayé de vendre un objet et que ça n’a pas marché, ça sera plus facile de le donner. Tu as peut-être quelqu’un en tête dans ta famille, parmi tes amis ou ton voisinage, à qui ça pourrait être bien utile. Et sinon, tu peux aussi en faire don à Emmaüs ou autre association caritative qui à son tour le distribuera à quelqu’un qui en a besoin.

Le troisième tas, c’est pour les objets inutilisables en l’état : un pull troué, un meuble ou un appareil cassé, des vieux journaux, etc. Il faut les recycler. Tu peux dans ce cas les emporter dans un point de collecte de recyclage, ou encore à un pote qui aime bien bricoler. Il en fera son affaire !

Enfin, le quatrième tas que tu utiliseras peut-être, à défaut de pouvoir vendre, donner ou recycler, c’est tout simplement… la poubelle !

Le minimalisme à long terme : règles et bonnes pratiques pour rester minimaliste

Apprendre à vivre avec moins

Bravo ! Tu commences à vivre de peu mais mieux. Et tu te sens bien. Mais comme tu l’as constaté en déroulant tout le processus, devenir minimaliste, ça ne se fait pas en un claquement de doigts ! Alors maintenant, il s’agit de le rester. Tu n’auras pas fait ça pour rien.

Pour commencer, il faut surtout ne pas avoir peur du vide ! Je m’explique.

Tu n’avais pas l’habitude d’avoir autant d’espace libre chez toi, dans tes armoires, tes placards, etc. Mais rappelle-toi bien que tu ne t’es pas débarrassé de toutes ces choses inutiles pour en acheter de nouvelles !

Si vraiment tu as beaucoup trop d’espaces inoccupés, pense plutôt à vendre cette armoire devenue inutile, à louer cette cave où tu n’as plus rien à mettre ou même à déménager dans un appartement plus petit.minimalisme vivre avec moins

Si tu as peur du vide, ferme les yeux et dors ! 

Consommer moins, consommer mieux

Tu l’as compris, le minimalisme implique un changement dans tes habitudes de consommation. Et les tentations ne vont pourtant pas manquer ! Alors essaie de te tenir à distance de la publicité et réduis la fréquence de tes sorties shopping. Résiste aussi aux tendances éphémères, notamment dans le secteur de la mode mais pas seulement. Privilégie désormais les articles durables. Préfère la qualité à la quantité. Tu verras qu’à terme, c’est bon aussi pour ton compte en banque !

Garde toujours en tête les critères selon lesquels tu as donné un grand coup de balai dans tes possessions au moment de te lancer dans le minimalisme. Tu as gardé les choses dont tu as besoin et tu t’es débarrassé du reste, n’est-ce pas ? Alors n’achète pas des choses dont tu n’as pas besoin ! Pourquoi acheter un saladier alors que tu en as déjà deux et que tu ne les utilises presque jamais en même temps ? Pourquoi acheter une nouvelle robe rouge alors que tu en as déjà une ?

Enfin, tu devrais aussi appliquer cette règle d’or : quand tu achètes un article, tu te débarrasses d’un autre. Ça t’incitera à penser d’abord à acheter pour remplacer, qu’il s’agisse de quelque chose qui est endommagé ou que tu n’aimes plus. Et même si tu ne remplaces pas « un pour un », ça te donnera l’occasion de te demander à nouveau s’il n’y a pas un objet chez toi dont tu n’as plus besoin. Surtout, ça t’évitera de te retrouver dans quelques mois dans la même situation qu’avant, très loin du minimalisme, et de devoir reprendre tout le processus depuis le début…

Personne n’est parfait !

Si tu as lu l’article jusque-là, c’est que tu es convaincu de l’intérêt du minimalisme. En revanche, tu ne te sens peut-être pas assez fort pour y arriver. Rassure-toi tout de suite, si les règles que j’ai développées paraissent très strictes, le droit à l’erreur existe !

Même le plus fervent et le plus expérimenté des minimalistes fait parfois un écart, un achat pas franchement nécessaire. Il ne faut pas tuer le plaisir, et encore moins le bonheur. Rappelle-toi que l’objectif du minimalisme est double : vivre de peu mais vivre mieux !

Ce qui est important, c’est d’être conscient de ces écarts, d’en analyser les raisons, de les accepter et d’éviter qu’ils ne remettent en cause toute cette démarche minimaliste que tu as engagée.

Alors, le minimalisme, tu en penses quoi ?

Dans cet article, j’ai parlé principalement du minimalisme appliqué aux choses matérielles, parce qu’il peut avoir des impacts réels sur ton budget : réduire tes dépenses, changer les priorités, affecter les économies réalisées à de l’épargne ou à de l’investissement, etc.

Mais je te rappelle que cette démarche de simplicité volontaire peut aussi s’appliquer à tes activités professionnelles ou personnelles, à tes relations familiales ou amicales, etc. L’idée reste toujours de faire mieux avec moins, de privilégier la qualité à la quantité, et par conséquent, de se sentir plus léger, moins stressé.

Marion

Fondatrice du blog - Solutions Alternatives

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