Acheter pâtes, riz, céréales, biscuits ou encore du sucre en vrac c’est économiser en moyenne 6 %, mais comme toute moyenne cela englobe de grosses différences selon les produits …
Il faut distinguer deux choses : où on fait ses courses et ce qu’on achète. D’abord une idée reçue à démonter: le vrac bio est en réalité moins cher dans un magasin spécialisé que dans un supermarché. L’association 60 millions de consommateurs l’a démontré.
Ensuite pour le vrac conventionnel on peut aussi faire de bonnes affaires dans les supermarchés mais cela reste plus marginal parce que les prix sont déjà tellement tirés vers le bas que les marges de manœuvre sont limitées…
Le vrac a un autre avantage : on n’achète que ce dont on a vraiment besoin …
Alors ça c’est une économie indirecte.
Si vous n’avez besoin que de 20 grammes de raisins secs pour faire un gâteau, pas besoin d’acheter le paquet de 100 grammes en se disant « ça finira par me servir un jour »…on sait bien souvent comment ça finit : à la poubelle.
Acheter en vrac c’est effectivement acheter uniquement ce dont on a besoin, une autre source d’économie donc à côté du prix d’achat.
On trouve de plus en plus d’aliments en vrac maintenant
Clairement : du chocolat, du yaourt aussi, de la crème, des bonbons, des produits ménagers et même du café, du thé ou de la tisane.
On peut en trouver sur les marchés, dans les magasins bio, les supermarchés bien sûr mais aussi de plus en plus d’épiceries spécialisées.
D’ailleurs l’association réseau Vrac qui promeut ce mode de consommation a publié une carte interactive. Et puis vous savez, au-delà du prix, le vrac c’est tous les emballages en moins, donc des déchets en moins, de quoi se motiver un peu plus..
