Pourquoi neutraliser votre compteur Linky?
Les risques liés à l’exposition aux ondes électromagnétiques des téléphones portables et des connexions Wifi sont aujourd’hui reconnus. Chaque utilisateur peut réguler son degré d’exposition à ces ondes en gérant le temps qu’il passe au téléphone, en s’équipant d’une oreillette filaire, en débranchant sa box connectée en Wifi la nuit, etc. D’une manière plus radicale, chacun est libre de choisir de ne pas s’exposer à ces ondes en refusant les outils de télécommunication qui les génèrent. Mais qu’en est-il des compteurs communicants Linky une fois qu’ils sont installés – imposés – dans nos habitats ?
Compteur Linky, quelles conséquences sur votre santé ?
Ce qui interroge chez Linky, c’est la technologie utilisée pour transmettre les relevés de consommation électrique en temps réel, jour et nuit. Cette technologie est le CPL (Courant Porteur en Ligne) qui utilise les fils électriques classiques fournissant le courant (Légal en France soit du 50 Hz) dans l’ensemble d’un bâtiment. Les fréquences CPL qui viennent donc se superposer sur le courant 50 Hz rajouteront suivant les régions, des fréquences qui pourront aller de 10 Kilohertz à 95 Kilohertz on parle même dans un futur proche de 170 kHz. Les ondes électromagnétiques se retrouvent donc dans l’air environnant, mesurables jusqu’à plus de deux mètres des câbles encastrés dans les murs, des fils électriques apparents et des appareils eux-mêmes. Le Linky nous baigne continuellement dans un brouillard d’ondes électromagnétiques, et c’est justement l’exposition répétée qui impacte sur notre santé plus que la puissance des ondes. De nombreux symptômes d’électrosensibilité peuvent apparaître : troubles du sommeil, maux de tête, difficultés de concentration, nausées, vertiges… D’un point de vue neurobiologique, il est évident que notre cerveau qui « fonctionne à l’électricité » ne peut être que perturbé – pollué – par des ondes électromagnétiques continuelles. Le Linky met principalement notre cerveau en souffrance. L’inquiétude est donc légitime, d’autant que le Centre International de Recherche sur le Cancer a classé les ondes électromagnétiques « potentiellement cancérigènes », ce qui n’a rien d’anodin.
